28 avril 2013, 20h04
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Il a parlé à la police fiscale et à des juges d’instruction français, aux médias français et suisses. Pierre Condamin-Gerbier parle, parle, mais ne sait rien. C’est en tout cas ce qu’affirme l’ancien collaborateur du groupe Reyl à Genève, soupçonné d’avoir violé le secret bancaire dans le cadre de l’affaire Cahuzac. Si le mystère entoure toujours la teneur réelle des informations qu’il a réellement transmises à la France, ses motivations deviennent plus claires. Le scénario d’une vengeance contr...
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