03 décembre 2015, 15h29
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Après avoir évité la crise de la zone euro avec son célèbre discours de 2012 du «whatever it takes» («quoi qu'il en coûte»), et après avoir convaincu les membres les plus orthodoxes du Conseil des gouverneurs de la BCE de s'engager en faveur d'un assouplissement quantitatif à hauteur de 1 100 milliards d'euros cette année, le président de la BCE, Mario Draghi, continue de chercher désespérément une réponse au marasme déflationniste dans lequel se trouve actuellement l'économie. En novembre,...
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