23 février 2016, 20h58
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Conséquence inattendue de la Lex Weber: la mise en place de mesures atténuant les effets du franc dans l’hôtellerie. «On a bénéficié d’un facteur chance», reconnait Philippe Pasche, directeur de la Société suisse de crédit hôtelier (SCH). Il fait allusion à la révision de l’ordonnance sur l’encouragement du secteur de l’hébergement, effective depuis le 1er avril 2015, soit moins de trois mois après l’abandon du cours plancher EUR/CHF par la Banque nationale suisse.
Un an plus tôt, en juin...
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