1. L’arrivée d’un chercheur adepte de la décroissance à HEC Lausanne dérange
La semaine prochaine, il est prévu que Timothée Parrique s’installe dans son bureau de la Faculté des hautes études commerciales (HEC) de l’Université de Lausanne (Unil). Engagé en octobre, ce Français se décrit comme un «chercheur en économie écologique, spécialiste de la décroissance et du post-capitalisme».
Le recteur de l’Unil Frédéric Herman avait annoncé son recrutement en septembre dans le magazine du campus, une mise en avant d’un post-doctorant jugée inhabituelle, selon un professeur.
L’embauche à la HEC de cette figure qui polarise suscite de l’incompréhension à l’interne, a appris L’Agefi. Au cœur des reproches, le manque de rigueur académique de Timothée Parrique et le militantisme de l’Unil qui aurait favorisé son recrutement.
2. Classement: ces petites banques qui savent mieux mettre en valeur leur identité
Vontobel est la banque privée suisse qui sait le mieux utiliser son identité comme outil stratégique pour gagner en compétitivité. Le groupe zurichois précède sur le podium deux établissements romands, Pictet et Banque Heritage, dans la première édition du Swiss Private Banking Identity Index.
3. SGS planifie depuis trois ans son déménagement à Zoug
Leader mondial de l’inspection et de la certification, SGS réfléchit depuis trois ans à quitter les rives du lac Léman pour rejoindre celles du lac de Zoug, d’après nos informations. Les démarches avaient commencé avant que la CEO Géraldine Picaud, domiciliée dans ce canton, ne prenne son poste en janvier 2024. Selon la promotion économique du canton de Suisse centrale, sollicitée par L’Agefi, pour les grands projets internationaux, le temps qui s’écoule habituellement entre les premiers entretiens et la décision d’implantation oscille entre un et deux ans.