02 janvier 2013, 20h30
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De nombreux dirigeants dans les milieux économiques suisses ont été incité à changer d’orientation l’an passé. Première tête à tomber et non des moindres, celle de l’«homme le plus puissant du pays», Philipp Hildebrand, président de la BNS jusqu’en janvier dernier. Rétrospective non exhaustive.
La veille de Noël, la Banque nationale suisse (BNS) coupe court aux rumeurs concernant son président. Philipp Hildebrand n’a procédé à aucune transaction illégale, conclut une enquête.
Silen...
La veille de Noël, la Banque nationale suisse (BNS) coupe court aux rumeurs concernant son président. Philipp Hildebrand n’a procédé à aucune transaction illégale, conclut une enquête.
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