22 décembre 2014, 23h07
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L’option considérée particulièrement risquée il y a un an convainc toujours plus d’établissements. Après un examen approfondi et sur recommandation des conseils de Reyl, le groupe a décidé de ne pas participer au programme US de régularisation fiscale. Il a souligné face à l’agence AWP n’avoir «jamais eu comme politique de démarcher des clients américains». A l’exception de sa filiale Reyl Overseas à Zurich, qui depuis sa création en 2011 est régulée par la SEC américaine.
Les banques du ...
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