06 mai 2015, 21h06
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Depuis janvier, le franc fort est l’objet de tous les débats et de toutes les inquiétudes. Avec raison car il a renoué avec son niveau de surévaluation d’avant l’introduction du cours plancher de septembre 2011. L’abandon du cours plancher engendre des risques baissiers sur la croissance et l’inflation. Mais ce n’est pas ce qui préoccupe le plus Samy Chaar, chef économiste de Lombard Odier, car la Suisse a une longue expérience d’une monnaie forte et a appris à y réagir.
La baisse des taux en t...
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