Sophie Marenne
L'Agefi - Journaliste
20 novembre 2018, 21h17
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Le meilleur des robots est celui qui est invisible. «La machine idéale est celle que vous ne voyez plus et à laquelle vous ne devez plus rien demander explicitement, à l’image d’une femme de ménage», affirme Jamie Paik, directrice du Laboratoire de robotique reconfigurable (RRL) de l’École polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL). Venue d’Harvard, cette ingénieure en mécanique s’est tournée vers l’EPFL car l’établissement était très ouvert au nouveau champ des "soft robots" – les...
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