07 mars 2016, 21h26
Partager
«Ce qui me tient particulièrement à cœur, c’est d’éviter le sacrifice des terres. Comme le ravage des forêts pour la production d’huile de palme», insiste Nadia Plata. Elle justifie ainsi le repositionnement de son entreprise EPTES (Environnement, Protection, Technologie et Sciences), établie à Vevey, sur le créneau de la valorisation des déchets alimentaires. Autres arguments: la biomasse – les déchets organiques – est gratuite et les techniques d’extraction de molécules ne sont pas compliquées...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT