28 juin 2017, 13h11
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La cyberattaque mondiale au rançongiciel, démarrée en Ukraine et en Russie, semblait contenue mercredi après avoir touché des milliers d'ordinateurs. Elle a rappelé, un mois et demi après WannaCry, la menace de telles attaques sur des infrastructures critiques.Si l'ampleur des dégâts paraît minime par rapport aux centaines de milliers de victimes de WannaCry début mai, le virus, qui bloque des ordinateurs jusqu'au paiement d'une rançon de 300 dollars en monnaie virtuelle, a notamment affecté des...
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