04 janvier 2019, 15h54
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«A 55 ans, j’avais besoin d’un changement», déclare José Bonvin, à la tête du cabinet de coaching Apcholu. Après avoir œuvré durant dix ans comme contrôleur d’entreprises ayant eu recours au chômage technique ou intempéries pour le compte du Secrétariat d’Etat à l’économie (SECO), le Valaisan décide de lancer sa propre affaire. C’était en mai dernier à Sion.
Aujourd’hui, la jeune société s’attaque à la Suisse romande. «J’ai toujours préféré aidé les gens plutôt que de les sanctionner comme je ...
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