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A Genève, Uber devra «certainement passer à la caisse»

Pour Sandra Gerber, avocate en droit du travail, l’entreprise américaine n’aura pas d’autres choix que de payer les cotisations sociales avec effet rétroactif si elle souhaite poursuivre son activité à Genève.

«Uber restera dans le collimateur des autorités genevoises et cela pourrait avoir un effet boule de neige dans les autres cantons», avertit l'avocate Sandra Gerber.
Keystone
«Uber restera dans le collimateur des autorités genevoises et cela pourrait avoir un effet boule de neige dans les autres cantons», avertit l'avocate Sandra Gerber.
10 juin 2022, 7h00
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Depuis dimanche 5 juin, Uber ne peut plus exercer à Genève. «Aucune voiture n’est disponible», peut-on lire sur l’application de la plateforme. Et pour cause, le Tribunal fédéral (TF) validait vendredi dernier l’analyse de la justice genevoise qui considère les chauffeurs d’Uber comme des employés et non comme des indépendants. 

A Genève, il est dorénavant attendu que le géant californien se mette en règle rétroactivement sur une période de cinq ans...
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