20 avril 2017, 7h20
Partager
Le décret révisé signé début mars par le président américain, tout comme la première mouture fin janvier, "inflige des dommages substantiels aux entreprises américaines, à leurs salariés et à l'ensemble de l'économie", affirme ce document, transmis à une cour d'appel de Virginie (est).
Cette dernière soit statuer sur la légalité du décret, qui veut interdire l'entrée aux Etats-Unis des réfugiés et des ressortissants de six pays musulmans mais fait l'objet d'un bras de fer judiciaire. ...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT