01 avril 2025, 20h00
Partager
Le rejet par la Confédération de l’idée de réutiliser les avoirs russes gelés, ou même les intérêts générés par ces fonds, rappelle une évidence qu’une partie du Vieux Continent semble avoir oubliée: la sécurité juridique et le respect du droit de propriété ne sont pas négociables. La Suisse, en choisissant de ne pas emboîter le pas à Bruxelles, rappelle que même une violation du droit international ne justifie pas que l’Etat de droit s’accommode d’arbitraire.
Ce contenu est réservé aux abonnés au "Pack numérique" ou au "Pack service complet"