26 novembre 2021, 7h00
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Dans un monde idéal, la finance dite verte ou durable n’aurait pas besoin d’exister. Dans ce monde-là, les Etats corrigeraient la défaillance du marché qui provoque le réchauffement climatique en imposant un prix mondial sur le carbone. Tous les acteurs économiques pourraient continuer à faire ce qu’ils savent le mieux faire, maximiser leur profit sous cette contrainte. Les uns réduisant les émissions de CO2, les autres développant les énergies renouvelables.
Mais nous ne vivons pas dans ...
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