22 mars 2018, 22h53
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Au début, on a cru à une maladresse: un appel d’offres des CFF exigeait que les entreprises rédigent leurs dossiers en allemand. En clair: une ancienne régie fédérale d’un pays multilingue ne travaille qu’avec des entreprises alémaniques. Les CFF se sont alors fait taper sur les doigts par le Tribunal administratif fédéral. Ont-ils corrigé le tir? Loin de là. Comme si de rien n’était, ils ont continué à discriminer les entreprises romandes en arguant qu’ils utilisaient la langue du lieu du chant...
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