29 octobre 2021, 7h00
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Gérer la fortune des Italiens et des Français depuis la Suisse dépend du bon vouloir de leur gouvernement. C’est en substance la réponse du Conseil fédéral à l’ancien conseiller national, Giovanni Merlini. L’élu PLR d’alors sous la Coupole questionnait la marge de manœuvre de la Confédération à ce propos. «Les mesures que la Suisse peut envisager sont très limitées», reconnaît le Département fédéral des finances dans un rapport publié mercredi.
Discussions bilatéralesUne entente ent...
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