• Vanguard
  • Changenligne
  • FMP
  • Rent Swiss
  • Gaël Saillen
S'abonner
Publicité

Le choc et le malaise

ÉDITORIAL - La BNS n’est pas parvenue à sauver Credit Suisse, contrairement à UBS en 2008. Tout n’était pourtant pas joué d’avance pour la banque aux deux voiles. 

Thomas Jordan n'a pas réussi à sauver Crédit Suisse, privilégiant la stabilité financière du système.
KEYSTONE
Thomas Jordan n'a pas réussi à sauver Crédit Suisse, privilégiant la stabilité financière du système.
24 mars 2023, 7h00
Partager
La chute de Credit Suisse en quelques jours a provoqué la stupéfaction. L’établissement aux deux voiles n’était-il pas classé parmi les 30 banques mondiales présentant un risque systémique ou «too big to fail», trop grand pour faire faillite? C’est pourtant ce qui est advenu et de nombreux regards se sont alors tournés vers la Banque nationale suisse (BNS), à la manœuvre dans ce dossier délicat. Thomas Jordan a défendu jeudi le rôle de l’institut d’émission, rappelant que la surveillance des éta...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT

Plongez-vous dans l’actualité des entreprises, de la finance et de la politique