18 juillet 2013, 23h15
Partager
L’appel au premier ministre lancé par vingt députés et sénateurs, avec l’appui de Mediapart, pour que la France «examine» la situation de Pierre Condamin-Gerbier (un euphémisme pour demander sa libération, lire pages 2 et 28) repose de toute évidence sur de lourds malentendus. La fin du secret bancaire fiscal en Suisse ne peut passer par l’impunité du personnel des entreprises communiquant à l’extérieur des noms de clients. Que l’importance des informations divulguées puisse dans certains cas l’...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT