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Lanceurs d’alerte et informateurs
L’appel au premier ministre lancé par vingt députés et sénateurs, avec l’appui de Mediapart, pour que la France «examine» la situation de Pierre Condamin-Gerbier (un euphémisme pour demander sa libération, lire pages 2 et 28) repose de toute évidence sur de lourds malentendus. La fin du secret bancaire fiscal en Suisse ne peut passer par l’impunité du personnel des entreprises communiquant à l’extérieur des noms de clients. Que l’importance des informations divulguées puisse dans certains cas...
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