GAM, quitte ou double

Dans la lutte pour le contrôle d’une entreprise, il est de bonne guerre de multiplier les promesses. Mais une fois au pouvoir, il faut les tenir et la réalité est souvent implacable. GAM et ses nouveaux propriétaires sont en train d’en faire l’expérience. Près d’un an après s’être opposés avec succès à l’offre du fonds d’investissement britannique Liontrust, ils n’ont toujours pas redressé la barre du gestionnaire d’actifs zurichois, comme le prouvent ses chiffres semestriels publiés jeudi.
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