21 septembre 2015, 22h59
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Le nouveau succès électoral du populaire Alexis Tsipras et de son parti Syriza (lire page 24) tend à démontrer que l’extrême gauche grecque s’est institutionnalisée. L’arrivée au pouvoir de Syriza en janvier pouvait s’analyser sous l’angle d’un vote protestataire, un message de ras-le-bol à l’encontre des créanciers de la Grèce et leurs exigences. Alexis Tsipras a pourtant fini par accepter les conditions de la Troïka, alors même que les Grecs en avaient refusé de similaires quelques semaines av...
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