16 avril 2004, 0h00
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C’est incontestable, Zenith est définitivement sortie de son rôle de fabricant de «moteurs horlogers» pour retrouver sa place au firmament des très belles marques helvétiques. Cette mutation, la marque la doit au groupe LVMH, bien sûr, qui lui a donné les moyens financiers d’assurer cette renaissance, mais aussi à son jeune président, Thierry Nataf, qui a mené cette opération à chef.
Venu d’un autre univers que l’horlogerie mais passionné par la maîtrise de la fuite du temps, il a su apporter u...
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