06 juin 2006, 0h00
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Il a tout avoué et, au moment où ces lignes étaient écrites, on estimait qu’il allait être arrêté. Et pourtant, plus que nul autre, il incarnait, au Japon, un preux chevalier déterminé à casser les rentes de situation, à faire évoluer la culture d’entreprise, à agir de manière à faire reculer l’opacité pour faire place à la transparence. Mais qu’a-t-il donc avoué? D’avoir commis un délit d’initié lors d’une transaction en 2005 avec le portail Internet Livedoor qui est aujourd’hui au centre d’un ...
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