20 février 2008, 0h00
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«Je me réjouis de me réveiller un jour et de me dire “Je n’ai rien à faire aujourd’hui”. J’aimerais savoir ce que l’on éprouve à ce moment-là.» Il n’est pas sûr que l’oisiveté ait réellement plu à Wayne Sanders. Lorsqu’il annonçait son départ de la direction de Kimberly Clark en 2002, il n’envisageait pas de quitter ses fonctions au sein de plusieurs autres conseils d’administration. La possibilité d’en rejoindre un nouveau l’avait effleuré, mais rien n’était moins sûr. Cinq ans auparavant, le b...
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