19 août 2005, 0h00
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Les élections qui vont se tenir prochainement en Egypte vont constituer un test capital pour la politique étrangère américaine lorsqu’elle ne recourt pas à la force armée. La question est simple. Comment répondre à la menace islamiste? En défendant la démocratie ou, au contraire, en s’appuyant sur des régimes autoritaires? Le dilemme n’est pas nouveau: pendant des années en Amérique du Sud, Washington ne parlait pas tant de démocratie que de stabilité, suggérant implicitement qu’un homme fort ...
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