09 décembre 2005, 0h00
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Oui à une coopération internationale accrue. Oui mais… Alors que les Etats-Unis campent sur leur non, que l’Inde leur emboîte le pas ou que l’Australie prend ses distances, la Chine a entrouvert une porte mercredi à Montréal, à la Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques. Le message, qui inclut des réticences quant aux conséquences d’éventuelles mesures sur la croissance, a été transmis au monde par Wang Jinxiang, vice-président de la commission chinoise du développement et d...
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