12 octobre 2010, 0h00
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Le Brésil et la Chine sont montrés du doigt pour leur politique de change. S'il est certain que les banques centrales protègent l'euro au détriment du dollar – dont les exportations s'en trouvent facilitées – les Brésiliens, eux, ont empêché l'appréciation de leur monnaie en créant des obligations en monnaie forte, mais aussi en taxant les investissements étrangers, qui se sont considérablement renforcés dans cette région. Les Japonais, pour stabiliser le yen, gardent de leur côté de...
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