07 mars 2000, 0h00
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La petite phrase de Vladimir Poutine n’excluant pas l’entrée de la Russie dans l’OTAN dénote la volonté du président par intérim de renouer avec l’Occident, au risque de perdre des voix à trois semaines de l’élection présidentielle en Russie, estimaient hier les analystes.
Même si l’entrée de la Russie dans l’Alliance atlantique n’est en fait encore qu’une hypothèse toute théorique, en «n’excluant pas» que son pays rejoigne un jour l’OTAN, le président russe par intérim a prouvé sa volonté de ne...
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