21 mars 2000, 0h00
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Le président russe ad interim, Vladimir Poutine, s’est dit hier prêt pour la première fois à engager des négociations avec les combattants tchétchènes, lors d’une visite éclair à Grozny, une déclaration surprenante intervenue à six jours de la présidentielle.
Sur le terrain, les Russes ont continué à se heurter à la résistance d’environ 1500 indépendantistes retranchés dans le sud et redoutaient des «provocations» visant à «torpiller» le scrutin de dimanche dans la république indépendantiste.
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