23 novembre 2009, 0h00
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Malgré sa grande qualité, le portefeuille d’actifs du groupe atteint sa maturité, à l’exception de la division AB. Vivendi est donc à la recherche de nouveaux relais de croissance (jeux, télécoms dans les pays émergents) et se lance dans une politique d’expansion qui pourrait s’avérer très onéreuse, remettant en question sa discipline financière. La note code de l’analyste de Bordier, Daniel Pellet, passe de «plus» à «minus». Vendredi, Vivendi a terminé en baisse vendredi de 0,78% à 19,01 euros....
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