24 janvier 2007, 0h00
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Si elle séduit en France, Ségolène Royal se fait de sérieux ennemis à l’étranger. Elle avait déjà créé la polémique à propos du nucléaire iranien et des tribunaux chinois. Elle avait aussi suscité la controverse lors de son voyage au Proche-Orient en ne réagissant pas à des propos d’un membre du Hezbollah assimilant le comportement israélien au nazisme. Et ceci sans même compter ses remarques à l’encontre de la Banque centrale européenne «qui ne doit pas être omnipotente», qui ont fait grincer l...
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