10 juillet 2007, 0h00
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L’un des plus gros obstacles à des développements positifs dans le domaine des affaires étrangères, c’est le cœur des pleureuses et sermonneurs. Ce cœur recrute ses membres dans la communauté internationale, entité floue et à géométrie variable, qui laisse tomber sur le monde ses expertises, rapports et déclarations plus ou moins solennelles. Par exemple, il va de soi que l’administration Bush est bête et qu’en intervenant en Irak, elle a étalé cette bêtise au grand jour. L’extraordinaire est qu...
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