27 mai 2010, 0h00
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Le terme souvent employé de «secret bancaire» est source de confusion. La loi protège en effet la sphère privée des clients, en particulier contre la divulgation à des tiers de données personnelles et financières. C’est pourquoi on parle souvent de «secret professionnel» du banquier. Il est toutefois plus exact de parler de «devoir de discrétion». Par ailleurs, l’article 13 de la Constitution fédérale ancre la protection de la sphère privée comme un pilier du droit suisse. Seul celui qui confond...
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