14 décembre 2001, 0h00
Partager
Le besoin de transparence a tant fait défaut en Bourse suisse que les efforts de la Bourse suisse méritent d’être salués, ainsi que sa volonté de sanctionner les moutons noirs. Mais, comme souvent, le droit est à la peine lorsqu’il s’agit d’apprécier le fonctionnement des marchés financiers. L’article 72 du règlement de cotation regorge de zones grises, que ce soit sur la définition des faits à communiquer, sur le «quoi» et le «quand» communiquer. Eh bien, nous estimons qu’il serait erroné de te...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT