18 août 2009, 0h00
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Ouvrir le marché russe à OC Oerlikon, ainsi qu’à Sulzer, et permettre aussi au gouvernement de ce pays d’avoir accès à des technologies de pointe. Voici ce que Victor Vekselberg avait toujours promis à ces deux entreprises suisses dont il détient respectivement 44,7% (56,8% avec l’Autrichien Victory où ils forment un groupe) et 31,2%, indirectement à travers son véhicule d’investissement Renova. Et ce que Vladimir Kuznetsov, responsable de la stratégie de gestion d’actifs pour Renova, avait lais...
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