05 janvier 2010, 0h00
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Les actifs toxiques souvent qualifiés d’illiquides se négocient à nouveau. Ils doivent leur renaissance au plan de sauvetage des banques mis en place par le gouvernement américain. Ou plutôt à un effet collatéral de celui-ci. Conçu pour aider les banques à se délester de ces papiers afin de leur redonner la capacité d’accorder des prêts, les établissements bénéficiaires en ont au contraire profité pour renforcer leurs positions. Echangés à au moins 95% de leur valeur nominale avant la crise, la ...
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