24 avril 2001, 0h00
Partager
La recherche européenne sur les encéphalopathies spongiformes transmissibles (dont l’ESB, dite «maladie de la vache folle») doit impérativement être mieux coordonnée si l’on veut arriver un jour à poser un diagnostic précoce et, qui sait, à les neutraliser. C’est ce qui ressort du premier inventaire des recherches entreprises depuis 1993 sous l’égide de l’Union européenne et présenté à la presse le 23 avril à Bruxelles par le commissaire à la recherche, Philippe Busquin, en présence de deux somm...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT