12 juillet 2006, 0h00
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La démission in corpore du rectorat de l’Université de Genève, qui devra encore être avalisée par le Conseil d’Etat le 26 juillet, a au moins le mérite d’accélérer une réflexion fructueuse sur le système de direction de même que sur les structures en vigueur dans nos hautes écoles qui font appel en Suisse à des modèles, hélas, aujourd’hui obsolètes. Bien sûr, des hommes sont mis en cause; une personne est soupçonnée d’irrégularités, son dossier ayant été transmis au procureur général genevois pa...
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