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Une technique douce pour réparer l’irrigation du cerveau

Jusqu’à récemment encore, l’intervention nécessitait l’ouverture de la boîte crânienne du patient, avec de lourdes conséquences postopératoires.

06 février 2004, 0h00
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Simultanément sur plusieurs écrans, les images défilent. L’opération est délicate. Il s’agit d’introduire dans les vaisseaux du cerveau du patient un petit implant afin de neutraliser l’anévrisme qui risque à tout instant de se rompre. Sous anesthésie générale, la respiration de l’opéré est perceptible sur les clichés en noir et blanc pris par rayons X. En quelques minutes à peine, les données sont traitées puis traduites en images de synthèse 3D. Tout y paraît plus vrai que nature: chaque vaiss...
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