05 juin 2001, 0h00
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«Un coup d’Etat». Voilà comment le journal Nevassimaya Gazetta qualifiait le limogeage en douceur de Rem Viakhirev, le président de Gazprom. Cette décision marquait d’une pierre blanche l’actualité russe de la semaine dernière. En effet, les commentateurs les plus téméraires n’auraient rien parié de moins qu’une reconduction de quelques mois du mandat de ce potentat de soixante-six ans, figure emblématique s’il en est, de l’ère eltsinienne. Un coup de fil de Vladimir Poutine une heure avant la r...
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