20 octobre 2003, 0h00
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Par un vote de rupture, les électeurs ont durement sanctionné l’échec d’une gestion centriste de la politique suisse, qualifiée par Thomas Held, directeur d’Avenir Suisse, de «bricolage routinier» dans les colonnes de l’agefi. Le résultat est sans appel. L’UDC progresse au-delà des attentes. Fruit d’un marketing agressif, il n’a pas eu grand-peine à stigmatiser une gestion des affaires politiques qui augmente chaque jour le nombre de mécontents.
Le vote UDC n’est pas qu’un vote de protestation....
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