14 août 2000, 0h00
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Tout, avec le contre-projet indirect à l’initiative «Oui à l’Europe», peut se passer. Au Conseil national, l’avance des partisans n’était que de 15 voix (99 à 84). Evidemment, les adeptes d’une adhésion pas trop lointaine à l’Union européenne feront tout pour creuser l’écart. Mais l’autre scénario est tout aussi plausible, sinon plus. Car il suffirait que 8 élus – quelques radicaux et démocrates-chrétiens las de lutter - passent du «oui» au «non» pour que l’affaire soit enterrée. Ils y seraient ...
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