19 décembre 2001, 0h00
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La recapitalisation de la Banque Cantonale Vaudoise (BCV) laissera des traces sur le plan politique. Si la banque n’est de loin pas dans une situation comparable à celle de Genève, son conseil et sa direction sortiront affaiblis de l’opération. Certes, la nouvelle direction de la banque, présidée par Pierre Fischer, ne peut pas être tenue pour responsable mais elle devra assumer l’échec d’une stratégie qui voulait gagner du temps et qui a négligé d’informer à temps les autorités politiques du da...
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