29 juillet 2011, 0h00
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Gerald Quindlen quittant Logitech, voilà qui sonne comme une sanction des investisseurs. C'est aussi un signe patent que la crise du groupe est grave et s'étend bien au-delà d'une seule dimension conjoncturelle. La faiblesse du marché informatique et l'atonie en Europe n'expliquent plus l'incroyable enchaînement des problèmes. Mais de quels autres maux souffre finalement Logitech? La crise révèle apparemment l'incapacité de se profile...
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