Une publicité de trop, odieuse, s’étale sur les murs de la cité. Parlons-en!

Sur nos murs s’étale complaisamment la publicité la plus odieuse, la plus répugnante, la plus détestable, la plus pendable (sans jeu de mot) qui se puisse imaginer. Les adjectifs sont insuffisants à décrire les sentiments qui agitent le consommateur confronté à cette agression visuelle plusieurs fois par jour: le regard traqué d’un condamné à mort qui n’est là que pour vendre des fringues Benetton. Même si ce n’est pas la première fois que ce genre de campagne sévit, il semble que cette fois-ci ...