22 mai 2001, 0h00
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Il y a une implacable logique dans le projet – activement parrainé par la Suisse – de convention pour le contrôle des «armes légères». Il prend place dans une série d’initiatives où notre pays pousse vigoureusement à la roue.
On y découvre la projet de Cour pénale internationale, la convention pour l’élimination des mines antipersonnel, la création à Genève de trois centres pour la politique de sécurité, le déminage humanitaire et le contrôle démocratique des forces armées, toute une tradition ...
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