12 juillet 2005, 0h00
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L’intention d’identifier chaque citoyen par un numéro unique pour tous les registres de l’administration, à tous les niveaux de l’Etat, éveille des réserves justifiées. La mesure est moins innocente qu’il n’y paraît (lire également en page 4). Si le Conseil fédéral, dont la politique coûte de plus en plus cher, cherchait à mieux placer sous tutelle des citoyens infantilisés, il ne s’y prendrait pas autrement. Le même identificateur s’appliquerait au contrôle des habitants, au registre d’état civ...
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