21 mai 2001, 0h00
Partager
Il y a de l’habileté dans le projet d’initiative populaire du Syndicat de la communication. En fixant à 700 la quantité maximale de bureaux de poste qu’il accepte de voir disparaître, il ne demande pas la lune – puisque la direction de La Poste fixe elle-même la fourchette entre 700 et 900.
Autre joli coup, le Syndicat de la communication – qui fait partie de l’Union syndicale suisse (USS) – prend soin de ne pas briser inutilement le front des adversaires du démantèlement. Ainsi, il recherche le...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT