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Une globalisation imparfaiteresserre les primes de risque

Selon Moody’s, la faible récompense du risque est due aux exportations de capitaux de pays émergents.

21 février 2007, 0h00
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La baisse des primes de risque, qui sont à leur niveau le plus bas depuis des décennies, ne cesse d’intriguer. Dans une étude publiée hier, Moody’s relève que l’explication souvent avancée, l’abondance de liquidités, est plus un symptôme qu’une cause. Pour la société d’analyse de crédits, il faut chercher les raisons dans les imperfections de la globalisation. Le système financier mondial est largement intégré, alors que les économies émergentes peinent à produire des actifs financiers de bonne...
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