16 avril 2004, 0h00
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Dans les faits, la trêve pascale et la préparation du premier long week-end de l’année a plus préoccupé les arbitragistes que les rumeurs relatives à l’état de santé du président de la Fed. Ce n’est que partie remise… probablement. On aurait pu penser que même si la santé de Mr. Greenspan l’amenait à se retirer, du fait du recul de sa cote de popularité, le marché n’accuserait pas l’événement. Tel ne semble pas être le cas.
Il est vrai que la nervosité du marché est telle qu’il faut qu’il soi...
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